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Des phrases, en emphase...
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Des phrases, en emphase...

VIP-Blog de requiemnico
  • 13 articles publiés
  • 3 commentaires postés
  • 1 visiteur aujourd'hui
  • Créé le : 04/01/2006 23:22
    Modifié : 24/03/2010 21:10

    Garçon (21 ans)
    Origine : Paris
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    Petit garçon

    24/03/2010 21:10

    Petit garçon


    Dans son manteau rouge et blanc

    Sur un traîneau porté par le vent

    Il descendra par la cheminée

    Petit garçon il est l'heure d'aller se coucher

    Tes yeux se voilent, écoute les étoiles

    Tout est calme, reposé, entends-tu les clochettes tintinnabuler ?

    Demain matin, petit garçon, tu trouveras dans tes souliers

    Tous les jouets dont tu as rêvé,

    Petit garçon il est l'heure d'aller se coucher






    Pour ne jamais oublier

    05/04/2008 00:29

    Pour ne jamais oublier


    Elles ...
    Elle ...

    Elles sont là dans leurs instants de tristesse
    Elle était là dans les miens

    Elles sont là, parlent de confidences, de confiance
    Elle était là, c'était elle ma confiance

    Elles sont là,  sauf quand à l'horizon, leurs flammes semblent se raviver
    Elle était là, ma dernière flamme avec elle, s'est essouflée

    Elles ne sont plus là quand elles ont trouvé le bonheur
    Elle n'est plus là, jamais je ne retrouverai ce bonheur ...


    A Mon Plus Grand Amour. Ce 6 octobre jamais je ne l'oublierai




    Petit Simon ...

    18/12/2007 23:52

    Petit Simon ...


    Petite précision pour commencer , le judaïsme n'est pas ma ferveur, mais quiconque le deviendra un court instant en lisant ceci :

    Petit Simon tu es un grand garçon
    Viens donne-moi la main
    La nuit est belle allons jusqu’au jardin
    Voir les étoiles dans le ciel
    Petit Simon tu vois tout là-haut
    Comme le monde semble beau
    Mais tu verras lorsque tu grandiras
    Un jour tu comprendras
    Les étoiles ne sont pas toujours belles
    Elles ne portent pas toujours bonheur
    Les étoiles ne sont pas toujours belles
    Quand on les accrochent sur le coeur
    Petit Simon dans ta récitation
    Ce soir tu vas parler
    Du chant nocturne sous un ciel étoilé
    De Pierrot en rêvant à la lune
    Petit Simon c’est vrai quelles sont jolies
    Les étoiles de ta poésie
    Mais tu verras lorsque tu grandiras
    Un jour tu comprendras
    Les étoiles ne sont pas toujours belles
    Elles ne portent pas toujours bonheur
    Les étoiles ne sont pas toujours belles
    Quand on les accrochent sur le coeur
    Petit Simon apprend bien ma chanson
    Et ne l’oublie jamais
    Il y a longtemps quand je te ressemblais
    Parfois les hommes étaient méchants
    Petit Simon tu es encore petit
    Pour bien comprendre aujourd’hui
    Mais tu verras lorsque tu grandiras
    Un jour tu comprendras
    Les étoiles ne sont pas toujours belles
    Elles ne portent pas toujours bonheur
    Les étoiles ne sont pas toujours belles
    Quand on les accrochent sur le coeur
    La, la, la, la, la, la, la, la, la
    La, la, la, la, la, la, la, la, la
    Les étoiles ne sont pas toujours belles
    Quand on les accrochent sur le coeur
    La, la, la, la, la, la, la, la, la
    La, la, la, la, la, la, la, la, la


    Merci Hugues ...





    Je crois toujours guérir ...

    18/12/2007 23:46

    Je crois toujours guérir ...


    Il s'appelait Stewball.
    C'était un cheval blanc.
    Il était mon idole
    Et moi, j'avais dix ans.

    Notre pauvre père,
    Pour acheter ce pur sang,
    Avait mis dans l'affaire
    Jusqu'à son dernier franc.

    Il avait dans la tête
    D'en faire un grand champion
    Pour liquider nos dettes
    Et payer la maison

    Et croyait à sa chance.
    Il engagea Stewball
    Par un beau dimanche
    Au grand prix de St-Paul.

    "Je sais, dit mon père,
    Que Stewball va gagner."
    Mais, après la rivière,
    Stewball est tombé.

    Quand le vétérinaire,
    D'un seul coup, l'acheva,
    J'ai vu pleurer mon père
    Pour la première fois.

    Il s'appelait Stewball.
    C'était un cheval blanc.
    Il était mon idole
    Et moi, j'avais dix ans.


    L'antre des arts oubliésCommentaire de preas (09/07/2008 19:07) :

    Oh! Belle découverte..un poème humain...triste...et le refrain lui donne une bien belle légèreté Cependant il y a la phrase avec Stewball qui casse les hexasyllabes..

    http://preas.vip-blog.com/




    Week end

    29/01/2006 22:16

    Week end


    Tous ces week-end malhonnêtes... Une putain de compagne et un ami ensoleillé
    Pas prêt d'être conforme et net, mais pourquoi n'ai je pas envie de crever

    Elle est belle... La lune évidemment, qui d'autre cela pourrait-il être dans ce monde pourri, pas le droit d'être malheureux juste mélancolique, pour être plus conforme avec le rassemblement français.

    Quand j'atteindrai le but que personne n'aura réussi à me fixer, je serais prêt à accomplir le reste de ma vie,celle qui n'a jamais véritablement existé, celle que je pense encore mais que je ne vis pas.

    La lumière traverse la colonie de nuages, formant au dessus de mon blême et livide visage, une auréole. Une espérance probablement, sur ma destinée, un horizon certainement, sur ma fatalité.

    Une option sur la solitude a été retenue sur mon dossier vital, adopté, comme un chien, sur ma carte d'identité.




    Seule l'inspiration fera l'affaire

    16/01/2006 21:34

    Seule l'inspiration fera l'affaire


    ALPHA
    MIKE
    OSCAR
    UNIFORM
    ROMEO

    sèche tes larmes,
    respire, ne cesse de respirer,
    Nous espérons que vous étoufferez, vous étoufferez,
    Nous espérons que vous suffoquerez, vous suffoquerez.

    TANGO
    ECHO
    NOVEMBER
    DELTA
    ROMEO
    ECHO
    SIERRA
    SIERRA
    ECHO




    Elle

    11/01/2006 16:50

    Elle


    Toute vraisemblance avec le discours d'un célèbre sportif, ne serait .... aucunement fortuite.

    Va savoir pourquoi, l'admirable vague de tes sentiments, elle ne concerne que toi. Pourtant tu m'as appellé ce lundi, j'ai cru un instant que la voix de raton au bout du fil, elle allait s'épanouir. Je la voyais enlacer ce petit human being. Heureuse comme le fut ta mère quand le monde autour de toi s'écroulait, tu semblais naviguer sur le chalutier que moi, mouette, je ne faisais que suivre. Tu avais cette avance sur moi, cette réplique assassine, une approche, un mouvement, tout paraissait si facile pour toi ce jour là. Suis je prêt à saisir la chance que tu me tends, chaleureuse tendresse? Trop près du but, voilà où on en était, trop près...  "I know it's over" chanterait Morissey. Aujourd'hui la mouette coule, le chalutier disparaît au loin... Pourtant je t'avais rattraper,  je m'étais posé sur ta terre, ton rivage...Va savoir pourquoi, l'admirable vague de tes sentiments, elle ne concerne que toi.

    Pour un coeur sablonneux, de la part d'un coeur cotonneux...




    Janvier glacé, c'est l'hiver pourtant

    09/01/2006 22:11

    Janvier glacé, c'est l'hiver pourtant


    T'ouvres la porte, comme il fait bon dehors, tu regardes le ciel bleu côte d'azur (Excusez moi...) , zieute bien ta montre, il n'est pas encore 8 heures d'un matin chaleureux. Tu avances un peu, tu profites de la vue de ton appartement de 9 m² sur le vieux chêne flétri. Quel âge a t'il celui là, tu te souviens lui avoir demandé la semaine dernière mais il devait être affairé, il ne t'avait point répondu. Tu t'approches, conscient d'être têtu, tu lui reposes la question. "Salut Mr Arbre (A ne pas confondre avec certains habitants d'Afrique du Nord) quel âge as tu ? Moi j'ai vu des gens ridés comme toi mais ils n'étaient pas aussi éclatants que toi." Apparement comme la 'tass de l'autre côté du chemin, son travail à cet heure venait à peine de se terminer (chloro... phylle), il semblait plier sous son poids tel moi une fin de samedi aprèm'. (Une comparaison qui n'en est pas une en fait, cherche pas lecteur, tu comprendras pas, moi même j'hésite à donner un sens à ma phrase). Donc je disais qu'il n'était semblait-il toujours pas disposé à me répondre. Bien mal m'en pris en fait, je n'aurais pas du faire confiance à un chêne, je le savais on me l'avait dit étant jeune pendant que d'autres faisaient attention à ne pas parler à "Mr Jtofredébonbon". Voilà donc mon compagnon de jardin, en train de s'agiter sans vent, de s'affrioler sans  Mademoiselle dans les parages (La 'tass s'étant trouvé un mari d'une heure ou de deux minutes en cas de précocité extrême), il me tend ses branches, je m'agrippe à l'une d'elle je sens que je monte, (Non pas là, la 'tass est partie j'ai dit !) je m'envole, l'arbre s'évase, il va me répondre je le sens! Je me galvanise, j'ai peur, je remarque que mon interlocuteur présumé est un "lampadaire de Snoopy", le chien de la voisine. Je crie, lâche moi arbre, lâche ou je sors ma pompe et ma goutière pour sucer ta sève. J'ouvre la porte, plus la même cette fois... Cela ressemble à des paupières, oui je me rapelle on est en Janvier et dehors... tu cailles... Enfoiré de chêne

    Commentaire de bettina (09/01/2006 22:17) :

    tres fort ton blog ... bravo

    http://bettina.vip-blog.com/




    Tu le sais tu l'aimes

    09/01/2006 21:41

    Tu le sais tu l'aimes


    Tu la connais l'histoire de l'homme simplifié hein... On naît, on vit, on meurt. Mais aussi on découvre, moi je découvre en tout cas. Pas grand chose, peut être des riens pour certains, mais moi je transis pour ces futilités. (Non je n'allais pas faire Michel Berger ou du France Gall mais dans le fond... bah si). Parmi elles, bah tu découvres les animaux, d'abord un chien ou un rat à l'aube de ta vie, en fonction du livre que tes profs ont choisis de t'enseigner (Ratus ou Benoit, la première confrontation cornélienne de ta vie) puis ensuite, au bon vouloir de Papa ou Maman bah tu es rejoins par  ton animal de compagnie. Histoire classique d'un gars qui semble l'être quoi... Bon jusque là on s'en fout toi comme moi mais regarde, ouvre les yeux, c'est là que tout s'éclaire. Tu n'y entends rien ? Regarde le ce chiot ou cette chatte qui te regarde, qui se dit peut être qu'elle t'aime (Pas le moment de parler de conscience, ici le probléme bah... il est pas là) mais elle a peur de s'approcher à cause de ta carrure imposante. Oui mais toi, tu regardes, tu bouillonnes, ton coeur lui il t'interpelle "Tu es humain et devant toi tu as un animal, un animal !!" Mais le coeur de nos jours, c'est secondaire on le sait tous. Donc tu t'approches, tu le prends dans tes bras. Que c'est doux, que c'est attendrissant. Ton coeur qui faisait la gueule, commence à s'approcher lui aussi, il se détend au risque de te faire subir ton premier pontage coronarien. Puis blang, ca y est, il est scotché. Qui ? L'animal ? Le coeur ? Les deux évidemment. Ca y est, t'es foutu, t'es perdu, t'es amoureux du seul marmot que tu peux te permettre à ton âge, et lui il te le rend tellement bien que toi, furax, tu en rajoutes encore, de l'amour... Oui je t'aime ma chienne, oui j'aime les animaux, pas comme les humains, mais c'est tout aussi fort si ce n'est plus. "Tu sais, t'es libre il paraît, moi je suis prisonnier, prisonnier de ta bouille mon amour". Whisky je t'aime




    Dites moi...

    06/01/2006 21:17

    Dites moi...


    Dis-moi que je crèverai seul comme un chien
    En haut d'une montagne qui plonge dans la mer
    En plein vent la narine frémissante
    Et tous les sens en éveil pour le dernier show de la vie
    Dis-moi qu'un oiseau viendra me rassurer de son indifférence
    Tout va bien me dira-t-il, il est juste grand temps de pourrir
    Dis-moi que les feuilles viendront roussir
    Et qu'avec elles le vent m'emportera
    Sans qu'aucun boulet de la vie pour une fois ne puisse me retenir

    Alors il ne sera rien que je regrette
    Sauf peut être cette vie entière
    Que nous n'avons pas vécue
    Cette promesse non tenue

    Mais qu'importe, que le vent m'emporte
    Nourrir les vers et les cloportes
    Ce sera bien là de toute une vie
    Le seul contrat bien rempli

    Je n'ai jamais vendu mon âme
    Mais c'est mille fois que je l'ai offerte
    En pure perte, en pur drame
    En pâture aux femmes

    Mais de tout ce vin ne reste que le tanin vinaigre
    De plaies par trop ouvertes, au fond d'un grâal
    Puits sans fin où se dilue l'hier sans lendemain
    Dis moi que ça ne fait rien
    Ce sera juste la preuve que ce n'était que ça qu'être humain
    Tout à une fin
    Tout à une fin
    C'est peut-être ça qui est bien
    C'est peut-être ça qui est bien





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